Bien que les intolérances sont le résultat du problème et non le problème, il est tout de même possible et parfois utile d’utiliser un test d’intolérances alimentaires. Cela dépend des cas et des budgets. Ce ne sont pas des tests qui vont totalement à la source des problèmes. Ce n’est donc pas le premier choix. Un test d’acides organiques et un bon test de selles vont toujours passer avant. J’ai longtemps utilisé le test d’intolérance de Rocky Mountain Lab en Colombie Britanique. C’est un test d’IgG régulier qui semble tout de même assez fiable et leur technologie a été améliorée

Plusieurs demandaient : qu’est-ce qu’on fait alors si les intolérances ne sont pas le problème et qu’ils sont le résultat du problème. C’est impossible de savoir qu’est-ce qu’on doit faire parce que c’est possible différent pour chacun, mais voici quand même quelques pistes. En fait, je vous parle du protocole des 4 R : Le premier R est « Remove » : • Retirer les allergènes potentiels de l’alimentation • Évaluer et retirer les pathogènes qui ne devraient pas y être (parasites, bactéries, etc.) • Briser les biofilms. Ce sont des genres de cabanes que les bactéries confectionnent pour se

Plusieurs personnes me contactent pour connaître leurs intolérances alimentaires. Bien que certains tests ont une certaine validité (mais pas à 100 %), les intolérances sont présentes habituellement lorsqu’il y a de l’hyperperméabilité intestinale. On doit donc découvrir pourquoi et non simplement retirer les aliments de notre alimentation. La bouffe n’est jamais le problème. C’est le système immunitaire qui y réagit de façon exagérée. Si nous enlevons simplement les intolérances, il est possible que de nouvelles apparaissent plus tard. L’état d’inflammation demeure et va causer d’autres symptômes ailleurs (neurologiques, manque d’énergie, etc.) Ceci dit, ça ne veut pas dire qu’on ne

Pourquoi est-ce si difficile de faire ce qu’on sait, qui est bon pour nous de façon constante? Les aliments transformés vous tendent un piège, le piège du plaisir. Voyons-y de plus près : Nous sommes motivés principalement par 3 facteurs venant de notre évolution : 1. Recherche du plaisir 2. Éviter la douleur 3. Conserver notre énergie Lorsque nous mangeons des aliments non transformés, nous pourrons qualifier le plaisir ressenti de « normal ». Ceci dit, si notre faim est très grande, le plaisir ressenti lors du repas sera plus grand. L’autre facteur qui influence le plaisir ressenti au repas