Certains stress sont impliqués dans le développement des conditions auto-immunes, c’est bien connu. On sait que les changements hormonaux peuvent être un stress pour le corps. Les femmes ayant un cycle hormonal qui fluctue davantage que les hommes étaient une des hypothèses déjà présentes. C’est la raison pour laquelle nous voyons plus souvent certaines conditions auto-immunes se développer chez certaines femmes à la fin de l’adolescence, après un accouchement ou lors de la ménopause.
Une nouvelle hypothèse serait que lors de notre évolution, les femmes passaient une bonne partie de leurs vies adultes enceintes. Le corps diminue alors ses défenses pour ne pas qu’il puisse y avoir rejet du placenta. Maintenant que le taux de natalité est un peu en bas de 2 au lieu d’être entre 8 et 12 ou même plus, les femmes n’auraient plus ce « frein » sur leurs immunités
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Attention ce n’est jamais qu’un seul facteur bien entendu!
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