Voir l’article du 15 janvier 2020 dans Radio Canada: https://
Le fait qu’il y a moins d’infections et que nos maisons sont mieux chauffées est une hypothèse avancée par Alex Carignan dans l’article. Comment expliquer que l’on prévoit que ça va continuer de descendre par contre?
Le maintien de notre température est important pour notre immunité, nos fonctions cellulaires et notre homéostasie. Est-ce possible que ce soit plutôt un agresseur? Ou plutôt de nombreux agresseurs?
La diversité de la planète (plantes, insectes, animaux, etc.) diminue de jour en jour. On sait que les taux de fertilités sont en baisses. Les hommes ont moins de testostérone qu’avant et le nombre de spermatozoïdes est en chute libre depuis un peu plus de 50 ans maintenant.
Est-ce possible que ce soit les mêmes agresseurs? Ça me semble du moins plus logique qu’« on chauffe mieux nos maisons ». Ça pourrait vouloir dire que la température de nos ancêtres chasseurs/cueilleurs était encore plus élevée. C’est possible, mais je n’ai jamais entendu que c’était le cas.
Les agresseurs sont l’augmentation de la pollution et des toxines dans nos environnements. Plus de 84 000 produits chimiques ont été introduits dans l’environnement depuis 60 ans et ça augmente de 2 000 par année. Pesticides, métaux lourds, plastiques et autres.
L’industrialisation de notre alimentation peut définitivement jouer un rôle également
Nous avons des indications que ces éléments peuvent contribuer à modifier nos hormones, affecter la fonction thyroïdienne (qui est très responsable de notre température), affecter nos mitochondries (là ou l’on produit notre énergie), déséquilibre le microbiote et j’en passe.
Est-ce possible que ce soit une combinaison des deux théories? C’est possible également.
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