Notre cerveau se dégénère dès notre naissance. Nous perdons des neurones qui ne reviendront jamais, c’est donc important de s’en occuper. Ceci dit, ce qui est le plus important est la plasticité, la capacité de faire des nouvelles connexions entre les neurones. On veut donc bâtir plus de plasticité que le rythme à laquelle nous perdons nos neurones.
Si les neurones ne s’activent pas, elles meurent, c’est « use it or lose it ». On veut les bons nutriments et une bonne circulation sanguine au cerveau pour garder les neurones actifs. On peut également causer du dommage si on lui demande beaucoup d’effort, mais que le carburant n’est pas présent. Il faut donc aligner les roues avant de pesée sur le gaz.
Lorsque Albert Einstein est mort, son cerveau a été étudié et il n’avait pas plus de neurones que les autres, mais le nombre de connexions était plus grand que la normale.
Pour bâtir de la plasticité, on peut faire des jeux de mathématiques, faire des tâches de l’autre main, changer les meubles de place, apprendre une langue ou un instrument, etc. On doit forcer le cerveau à travailler.
Le BDNF augmente la plasticité du cerveau et certaines herbes, phytonutriments, etc. augmentent le BDNF comme le curcuma, le resvératrol, la berbérine, le thé vert et blanc, l’extrait de feuille d’olive, le ginkgo, la mélisse, etc. L’autre chose qui augmente beaucoup de BDNF est l’activité physique. Surtout celle à haute intensité.
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Notre cerveau se dégénère dès notre naissance.
Danik Legault
Déterminé et fervent adepte de l’entraînement, de la nutrition et de la santé en général, je me suis lancé en naturopathie en 2014 afin de partager ma passion et d’aider le plus grand nombre de personnes possibles dans leurs objectifs de santé. Je suis maintenant naturopathe agréé (ND.A.), membre de l’ANAQ; il s’agit de l’association de naturopathes la plus rigoureuse au Québec.
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