Étude de 2018 dans The Journals of Pediatrics (https://www.jpeds.com/article/S0022-3476(18)30488-8/pdf) mentionnant que des niveaux de plomb plus élevés chez les jeunes enfants augmentent le risque de TDA ou TDAH. Le plomb semble affecter un peu plus les garçons que les filles.
En contrepartie, si la mère à un bon niveau de HDL et/ou un niveau de stress bas, cela diminue de moitié les chances de TDA ou TDAH.
Un autre exemple que la toxicité de notre environnement joue pour beaucoup dans les conditions neurologiques qui sont en hausse. TDA, TSA, Alzheimer, Parkinson’s, etc.
On sait que le plomb est neurotoxique (toxique pour les neurones du cerveau) et qu’il n’y a pas de niveau sécuritaire.
Le premier problème avec plusieurs études est qu’ils mesurent les effets négatifs d’une grande exposition à court terme. Ils manquent d’études sur les effets cumulatifs à petite dose dans le temps. Les données disponibles ne démontrent rien d’encourageant.
Le deuxième problème est que chaque toxine est étudiée indépendamment des autres. Dans notre environnement, nous avons un cocktail de toxines. Un adulte moyen en Amérique porte plus de 800 toxines différentes. Le nombre de toxines dans notre environnement atteint le 80 000 et augmente de 2 000 par année.
Lorsqu’on parle de toxicité, plusieurs personnes lèvent encore les yeux, mais c’est pourtant loin d’être une « joke »
#onnepeutpasnégocieraveclanature
