L’insuline est parfois comme un voisin fatiguant qui vient cogner 10 fois par jour à notre porte chaque jour. Un moment donné, on s’écœure, on ferme les lumières et l’on fait semblant que nous ne sommes pas à la maison.
C’est ça de la résistance à l’insuline. Les cellules ferment la porte et font semblant qu’il n’y a personne si l’insuline cogne sans arrêt.
Si le sucre rentre pas dans la cellule, c’est difficile de le brûler comme énergie et plus facile de le stocker en réserve. Ce n’est pas parce que nous ingérons de l’énergie potentielle (sucre) qu’on va être capable de l’utiliser. Ce n’est pas n’ont plus parce que nous transportons de l’énergie potentielle (tissu adipeux) qu’on est capable d’y avoir accès. C’est la raison pour laquelle ceux souffrant d’embonpoint ou d’obésité ont également de la fatigue. C’est un peu comme un camion-citerne qui tombe en panne d’essence. Le réservoir qu’il transporte est rempli, mais il ne peut l’utiliser lui-même.
Notre alimentation est le facteur no.1. Nos hormones de stress élève également le taux sucre qui fait l’insuline sort de chez elle pour aller cogner aux portes. Il y a d’autres facteurs également comme les toxines environnementales et les infections intestinales entre autres.
Si notre voisin ne vient pas trop souvent, il y a plus de chance que nous le trouvions cool, qu’on le laisse rentrer à la maison et qu’on lui donne ce qu’il veut.
Faites de votre insuline un voisin cool
L’insuline est parfois comme un voisin fatiguant qui vient cogner 10 fois par jour à notre porte chaque jour.
Danik Legault
Déterminé et fervent adepte de l’entraînement, de la nutrition et de la santé en général, je me suis lancé en naturopathie en 2014 afin de partager ma passion et d’aider le plus grand nombre de personnes possibles dans leurs objectifs de santé. Je suis maintenant naturopathe agréé (ND.A.), membre de l’ANAQ; il s’agit de l’association de naturopathes la plus rigoureuse au Québec.
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