Voir l’étude dans Frontiers in Human Neuroscience du 7 septembre 2018: https://
La variété de notre rythme cardiaque est une fenêtre sur notre système nerveux. Plus la variabilité est grande (en général), plus la réponse du système nerveux parasympathique est robuste.
Parasympathique = Repos et digestion
Sympathique = Fuir ou combattre
Dans le monde moderne, on a tendance à vivre presque en permanence en sympathique. Avec le temps, le parasympathique perd de sa force et le système nerveux se retrouve déséquilibrer. Ça peut être le cas même chez ceux qui mentionne ne pas être stresser ou ne pas ressentir le stress.
Le stress a plusieurs formes et ce qu’on appel le stress mental et émotionnel n’est seulement qu’une partie du stress que notre corps peut ressentir.
À part le fait de mesurer la variabilité de notre rythme cardiaque (HRV), il est possible d’avoir une idée de l’équilibre de notre système nerveux par le nombre de respirations que l’on effectue par minute.
Notre corps se « répare » en parasympathique!
Plusieurs personnes vont se retrouver entre 14 et 18 respirations à la minute (même la nuit). C’est beaucoup trop rapide si la situation ne le demande pas. Entre 6 à 10 respirations à la minute seraient beaucoup mieux.
Ceux qui ont une Oura, vous connaissez votre nombre de respirations à la minute.
L’étude mentionne que le fait de réduire notre rythme de respirations à la minute augmente notre variabilité cardiaque et donc renforcit le côté parasympathique du système nerveux autonome.
Je suggère donc, de simplement prendre le temps chaque jour consciemment prendre certains moments pour ralentir notre respiration. On peut l’inclure chaque fois que l’on voyage en auto, que vous faites la ligne à la caisse à l’épicerie ou ailleurs, avant et/ou après un repas, avant le dodo, dans un bain chaud, etc.
Plus de détails dans l’article!
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