Un taux de sucre mal contrôlé déséquilibre la flore intestinale qui peut contribuer à une plus grande hyperperméabilité. Cela active NF Kappa B (inflammation) qui éventuellement cause de la résistance à plusieurs hormones (insuline, cortisol, leptine) qui mène à une prise de poids, difficulté d’en perdre, fatigue, etc..
Les gars vont se mettre à aromatiser et produire plus d’estrogène tandis que les femmes vont voir la testostérone augmenter ce qui surcharge le foie. Cela crée également un état d’acidose qui déséquilibre les minéraux.
Ce n’est pas compliqué! Si le taux de sucre n’est pas sous contrôle, il n’y a rien qui marche! Le cerveau ne fonctionne pas, les neurotransmetteurs (humeur) les hormones, rien ne fonctionne efficacement.
L’alimentation joue bien entendu le plus grand rôle, mais les hormones de stress (cortisol, adrénaline, noradrénaline) également de même que la qualité, quantité de notre sommeil et le fait d’être actif ou non.
En passant, contrôler la glycémie ne veut pas dire de manger Keto.
Certaines hormones que l’on nomme les incrétines sont produites directement dans le petit intestin. Ils stimulent le GLP-1 (glucagon-like peptide 1) qui est associé à la première phase de relâchement d’insuline. C’est probablement le facteur no.1 pour avoir une glycémie stable. Le GLP-1 inhibe par le fait même le glucagon qui élève le taux de sucre.
Une diminution de la première phase de relâchement d’insuline est ce qui apparait en premier chez les diabétiques (bien avant que le diagnostic soit émis)
Devinez qu’est-ce qui aide à augmenter le GLP-1? Le fait de manger tranquillement et de mastiquer notre nourriture comme il faut.
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