Voir l’étude du 25 mai 2020 dans Nature: https://www.nature.com/articles/s41598-020-65322-4
Les gènes qui nous prédisposent au TDA et TDAH diminuent dans la population depuis même avant la révolution agricole, mais pourtant les niveaux de ces symptômes augmentent de façon exponentielle depuis plusieurs années. Même chose pour d’autres troubles neurologiques.
Comment expliquer ce phénomène?
Nos corps s’adaptent tranquillement. Ce sont des variantes génétiques qui étaient bénéfiques à l’époque des chasseurs/cueilleurs, mais moins bénéfiques dans une vie plus « moderne ».
L’étude confirme la théorie de l’écart évolutionnaire. Ces troubles neurologiques sont le résultat de notre environnement et non de nos gènes. Ces changements de variante génétique semblent par contre remonter à plus longtemps que certains croyaient.
Voici des extraits :
« We observed that the frequency of variants associated with ADHD has steadily decreased since Paleolithic times… Overall, our results are compatible with the mismatch theory for ADHD »
« Our results on the decay of fADHD over time and the identification of recent signatures of positive selection are compatible with the mismatch hypothesis. Namely, the frequency of current ADHD-risk alleles was higher in the past, but these alleles became maladaptive due to recent environmental changes »
« The exact biological and environmental factors that fuelled the selective pressures over current ADHD-risk alleles through time remain to be elucidated. ADHD is known to be comorbid with many other psychiatric phenotypes such as major depressive disorder or ADS47. Notably, we observed a considerable correlation of the effect sizes of ADHD with ASD. »
Si c’était génétique, on verrais une diminution et non une augmentation exponentielle.
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