Voir l’étude dans The Lancet diffusé le 18 juillet 2019 dans Science Direct: https://www.sciencedirect.com/…/pii/S2542519619300944…
Si c’est un sujet qui vous intéresse, je suggère de David Wallace-Wells: https://www.amazon.ca/David…/dp/0525576703/ref=sr_1_1…
Notre nourriture n’est pas aussi nutritive qu’auparavant. La perte est constante, et ce depuis longtemps. La fameuse phrase « si tu manges bien, tu n’as pas besoin de supplémenter » est de moins de moins en moins vrai avec le temps qui passe.
Il y a deux facteurs principaux pour la perte de nutriments. Le CO2 dans l’atmosphère qui accélère la croissance des plantes et la présence de pesticide qui « tue » littéralement les sols.
Comment veux-tu produire un légume nutritif (avec des vitamines et des minéraux) quand le sol est pauvre et que le CO2 accélère la croissance. Plus la croissance s’accélère, moins il y a de nutrition à l’intérieur.
Plusieurs produits sont également cueillis avant maturité à cause du transport requis pour sa vente.
La nature va à un certain rythme, on ne peut pas l’accélérer et avoir la même qualité. Même raisonnement pour l’élevage. Les poulets (ou autre) ne sont pas tous égaux. Cela dépend de son environnement, de sa nourriture, de la vitesse à laquelle il a atteint maturité, etc.
L’étude de 2019 va dans le même sens que l’article de Geoff Johnson (maintenant un classique) qui se nomme : « The great nutrient collapse » que j’ai déjà mentionné sur ma page plus d’une fois.
Notre course à toujours plus de productivité et plus de profils ne peut être appliqué à notre alimentation parce qu’#onnepeutpasnégocieraveclanature
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