Lorsqu’on parle de déséquilibre hormonal, la dominance œstrogénique est probablement en haut de liste.
Des niveaux élevés de stress physique, chimique et émotionnel peuvent mener à une condition qu’on appelle la dominance œstrogénique. C’est en fait un déséquilibre hormonal qui implique une perte de progestérone pour les femmes et on y ajoute la testostérone pour les hommes.
Les hommes se féminisent tranquillement. Il y a perte de 50 % des spermatozoïdes en une seule génération et la testostérone à diminuer globalement de 20 %. Certains experts disent que l’humain s’en va vers l’extinction tranquillement grâce à ce phénomène.
Chez les femmes, la dominance œstrogénique se traduit par une diminution de la libido, de l’infertilité, de la fatigue, des symptômes prémenstruels exagérés, un gain de poids, des maux de tête, des dépressions, des problèmes thyroïdiens, des fibromes, des cancers du sein et autres cancers hormonaux dépendants. Certains de ses symptômes peuvent être présents chez l’homme également bien entendu.
Instinctivement, on pense que la dominance œstrogénique est un surplus d’estrogène, mais c’est plutôt la progestérone qui est trop basse jumelé à une mauvaise biotransformation (élimination) des estrogènes. C’est un peu comme si vous mettez vos déchets au chemin, mais que le camion ne passe jamais. Ça s’accumule et ça va finir par sentir mauvais.
Les stress (physique, chimique et émotionnels) qui s’additionnent causent une augmentation de l’utilisation de la dopamine. La dopamine a pour rôle de garder les prolactines sous contrôle. Si la dopamine est basse, les prolactines augmentent et interfèrent avec la LH (hormone lutéinisante) qui peut faire que la progestérone sera plus basse. Les stress augmentent également la demande en cortisol. Lorsque c’est le cas, cela devient la priorité (hormone de stress) et une grande partie de la pregnenolone sera allouée à la production de cortisol. Si c’est chronique, ça causera une déficience en progestérone entre autres.
Quelques pistes à considérer rapidement :
• Avoir une alimentation anti-inflammatoire.
• Diminuer vos stress. Changez vos perceptions, optimisez votre sommeil et apprenez à respirer.
• Avoir beaucoup de légumes crucifères qui contiennent des indoles, du sulphoraphane et du diindolylméthane qui aide le foie dans la biotransformation hépatique.
• Mettre l’accent sur les poissons gras.
• Avoir des oignons, des échalotes, des poireaux et de l’ail qui sont riches en soufre.
• Avoir des herbes comme la coriandre et le persil.
• Consommez du thé vert et du curcuma avec vos crucifères pour aider l’activation de la voir Nrf2
• Mangez biologiques.
• Avoir des viandes bio et/ou de pâturage.
• Évitez le café et l’alcool.
• Avoir des produits nettoyants et pour le corps naturel.
• Éviter les conserves, les plastiques et les styromousses.
Ce sont les hormones qui « run le show » !!
#onnepeutpasnégocieravecla nature
Des niveaux élevés de stress physique, chimique et émotionnel peuvent mener à une condition qu’on appelle la dominance œstrogénique. C’est en fait un déséquilibre hormonal qui implique une perte de progestérone pour les femmes et on y ajoute la testostérone pour les hommes.
Les hommes se féminisent tranquillement. Il y a perte de 50 % des spermatozoïdes en une seule génération et la testostérone à diminuer globalement de 20 %. Certains experts disent que l’humain s’en va vers l’extinction tranquillement grâce à ce phénomène.
Chez les femmes, la dominance œstrogénique se traduit par une diminution de la libido, de l’infertilité, de la fatigue, des symptômes prémenstruels exagérés, un gain de poids, des maux de tête, des dépressions, des problèmes thyroïdiens, des fibromes, des cancers du sein et autres cancers hormonaux dépendants. Certains de ses symptômes peuvent être présents chez l’homme également bien entendu.
Instinctivement, on pense que la dominance œstrogénique est un surplus d’estrogène, mais c’est plutôt la progestérone qui est trop basse jumelé à une mauvaise biotransformation (élimination) des estrogènes. C’est un peu comme si vous mettez vos déchets au chemin, mais que le camion ne passe jamais. Ça s’accumule et ça va finir par sentir mauvais.
Les stress (physique, chimique et émotionnels) qui s’additionnent causent une augmentation de l’utilisation de la dopamine. La dopamine a pour rôle de garder les prolactines sous contrôle. Si la dopamine est basse, les prolactines augmentent et interfèrent avec la LH (hormone lutéinisante) qui peut faire que la progestérone sera plus basse. Les stress augmentent également la demande en cortisol. Lorsque c’est le cas, cela devient la priorité (hormone de stress) et une grande partie de la pregnenolone sera allouée à la production de cortisol. Si c’est chronique, ça causera une déficience en progestérone entre autres.
Quelques pistes à considérer rapidement :
• Avoir une alimentation anti-inflammatoire.
• Diminuer vos stress. Changez vos perceptions, optimisez votre sommeil et apprenez à respirer.
• Avoir beaucoup de légumes crucifères qui contiennent des indoles, du sulphoraphane et du diindolylméthane qui aide le foie dans la biotransformation hépatique.
• Mettre l’accent sur les poissons gras.
• Avoir des oignons, des échalotes, des poireaux et de l’ail qui sont riches en soufre.
• Avoir des herbes comme la coriandre et le persil.
• Consommez du thé vert et du curcuma avec vos crucifères pour aider l’activation de la voir Nrf2
• Mangez biologiques.
• Avoir des viandes bio et/ou de pâturage.
• Évitez le café et l’alcool.
• Avoir des produits nettoyants et pour le corps naturel.
• Éviter les conserves, les plastiques et les styromousses.
Ce sont les hormones qui « run le show » !!
#onnepeutpasnégocieravecla