Toute forme de vie s’adapte dans le temps. C’est le cas des humains, des animaux, des plantes et même des bactéries.
Plus on utilise d’antibiotiques, plus les chances que certaines bactéries ne meurent pas et apprennent à s’adapter/se renforcir afin de conserver leurs vies. On a donc besoin d’antibiotique plus puissant, mais l’adaptation va nous rattraper.
Voir l’article dans Radio Canada: https://ici.radio-canada.ca/
Les bactéries résistantes aux antibiotiques pourraient tuer près de 396 000 personnes d’ici 2050 au Canada seulement. L’article mentionne que c’est en enjeu aussi important que les changements climatiques et même plus.
Les insectes et plantes s’adaptent également aux pesticides et herbicides également nous forçant à augmenter les doses pour avoir le même rendement. Le même genre de cercle vicieux se répète.
Quand l’homme fait ce genre de chose, il pense qu’il peut négocier avec la nature, qu’il est plus intelligent comme si on savait vraiment comment tout ça fonctionne. C’est de l’égo à l’état pur et une incapacité de se rendre compte que ça ne semble pas vraiment fonctionner à long terme. On fait pitié à voir aller parfois.
Il faut arrêter de se « battre » contre la nature puisque la nature, c’est aussi nous. Il faut travailler AVEC.
Collectivement, c’est tellement difficile d’avoir une vision globale à long terme et de comprendre que nous ne sommes pas aussi importants qu’on le pense. On devrait descendre de sur nos grands chevaux
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