Une pandémie d’abus?

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Voir l’étude dans Journal of Law and the Biosciences: https://academic.oup.com/jlb/article/7/1/lsaa064/5912724

Voici un extrait du résumé qui dit tout :
« this Article demonstrates—with diverse examples drawn from across the world—there are unmistakable regressions into authoritarianism in governmental efforts to contain the virus. Despite the unprecedented nature of this challenge, there is no sound justification for systemic erosion of rights-protective democratic ideals and institutions beyond that which is strictly demanded by the exigencies of the pandemic. A Wuhan-inspired all-or-nothing approach to viral containment sets a dangerous precedent for future pandemics and disasters, with the global copycat response indicating an impending ‘pandemic’ of a different sort, that of authoritarianization. With a gratuitous toll being inflicted on democracy, civil liberties, fundamental freedoms, healthcare ethics, and human dignity, this has the potential to unleash humanitarian crises no less devastating than COVID-19 in the long run. »

The Guardian avait également un bon article sur le sujet le 22 février dernier suite à la déclaration d’Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations Unies qui mentionnait qu’il y avait une « pandemic of human rights abuses » :

https://www.theguardian.com/…/human-rights-in-the-time…

La société est basée sur des jeux fragiles, des jeux de rivalités ou le système incitent avant tout à ceux qui sont en pouvoir à accroître leur asymétrie du pouvoir, à ceux qui sont en mesure d’en tirer profit, d’en tirer profit au maximum, etc. Une société où c’est plus payant de colmater les problèmes que de les régler à la source. Une société ou une personne malade est plus payante qu’une personne en santé. Lorsque les enjeux sont aussi gros (comme présentement), tous les moyens sont bons.

Ce n’est pas qu’il y a une élite diabolique qui contrôle les ficelles, mais plutôt un système qui incite à des comportements sociopathes, psychopathes, etc. Comme la loi de Murphy qui mentionne que « what could happen, will happen ».

« An authoritarian response to a biomedical pandemic is not, and never will be, a humanitarian solution. »

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