« When a human is not well, you fix the environment in which he’s in, not the human »
Lorsqu’un virus relativement bénin vient terroriser la planète entière, devrait-on regarder l’environnement également? « Fix the environment, not the human »?
Est-ce possible que les histoires de masque, confinement, vaccination aient ce qu’on a toujours fait? C’est-à-dire de tenter de rapiécer le bobo sans regarder la cause parce qu’ultimement c’est payant (monétairement et politiquement)? Moi j’appelle ça « négocier avec la nature ».
On préfère offrir des frites, des burgers, des beignes et des loteries pour pousser les profits de certaines compagnies qui n’ont en rien à foutre de la santé des humains, de la planète et du reste.
Je n’ai pas l’impression que nous avons toujours besoin d’intervenir. Parfois, la meilleure intervention est de décider de ne pas intervenir. C’est toutefois politiquement moins payant.
J’ai tendance à remarquer qu’en général, se sauver d’un problème règle rarement le problème. Avez-vous remarqué la même chose?
Surprotéger au lieu de créer de la résilience est probablement un jeu que l’on va automatiquement perdre en fin de compte. Un jeu de « whack a mole » où l’on est toujours dernière.
Est-ce déjà arrivé dans l’histoire de l’humanité que le groupe qui restreint les libertés, qui décide ce qui être ce qui peut être ouvert ou non, qui décide à quelle heure tu peux sortir de chez toi et qui décide ou est-ce que tu peux aller et ne pas aller était les « good guys » dans l’histoire à la fin? Ils étaient pourtant tous convaincus de le faire pour le bien de tout le monde!
L’histoire nous apprend qu’on n’apprend rien de l’histoire!
#onnepeutpasnégocieraveclanature
