On a tendance à penser que la motivation est totalement dépendante de nous, que nous avons seulement à se motiver, se botter les fesses et que si c’est difficile, c’est simplement nous qui manquons de volonté. Pourtant, une partie de votre motivation dépend de la chimie de notre cerveau, plus précisément de dopamine.
La dopamine est un neurotransmetteur que certains nomment le « get shit done neurotransmitter ».
La dopamine est associée au centre du plaisir du cerveau également. C’est lui qui va renforcir certaines dépendances qu’on pourrait avoir. Des niveaux bas de dopamines sont présents chez ceux étant dépendants au tabac, aux drogues, à l’alcool, aux jeux, etc.
La dopamine aide également la coordination, le sentiment de reconnaissance, nos humeurs, la rapidité de notre cerveau, l’attention, la capacité d’apprendre et la gestion des prolactines.
C’est un neurotransmetteur stimulant et comme le reste dans nos corps, nous avons besoin d’un équilibre. Trop de dopamine n’est pas l’idéal n’ont plus. En fait, certains déséquilibres de la flore intestinale vont produire trop de dopamine chez certains enfants qu’on diagnostic avec des déficits de l’attention ou sur le spectre de l’autisme par exemple.
Pour être en mesure de bien produire notre dopamine, nous avons besoin d’une bonne puissance digestive afin d’être capables d’extraire le maximum de tyrosine et de phénylalanine de nos protéines. Il faut que l’équilibre des acides aminés soit bon. S’il y a trop de tryptophane, de méthionine, de valine, de leucine et d’isoleucine, le transport à travers la barrière hématoencéphalique de se fera pas efficacement. L’autre facteur qui influence le transport est un taux de sucre stable. Nous aurons ensuite besoin d’oxygène, de fer et de vitamine B9 pour produire la L-dopa et ensuite de vitamine B6 pour produire la dopamine.
C’est possible de mesurer les niveaux d’acide homovanillique dans l’urine pour avoir une idée de notre utilisation de dopamine.
#onnepeutpasnégocieravecla
