Étude parue le 3 juillet 2018 sur le site de Science Daily :
https://www.sciencedaily.com/rel…/2018/07/180703141329.htm
Étude sur les souris quand même. Une certaine enzyme (OGT) est responsable de la transcription de H3K27me3 qui est plus abondant chez les filles/femmes. H3K27me3 protègerait contre les stress de la maternité.
Les garçons/hommes seraient alors plus fragiles aux blessures maternelles pouvant être provoqué le stress de la mère, les infections, toxines et l’exposition aux drogues/médications ce qui pourrait expliquer que les garçons sont plus atteints de désordres neurologiques comme l’autisme, le TDA/TDAH, la schizophrénie.
Les mêmes chercheurs avaient déjà démontré que le stress du père pouvait également affecter les spermatozoïdes pouvant altérer le développement du cerveau de l’enfant. La santé du papa au moment de la conception est importante.
Un stress moyen et chronique pendant la gestation mène à une diminution de la réponse au stress plus tard augmentant les risques de conditions neuropsychiatriques incluant les chocs post-traumatiques.
On savait déjà que les femmes par leurs fluctuations hormonales deviennent elles plus à risques de conditions auto-immunes. C’est la raison pour laquelle les cas d’hypothyroïdie sont majoritairement des femmes et que ça déclenche au début de la vie adulte, après une grossesse et parfois à la ménopause. 3 moments où les fluctuations hormonales sont importantes.
Chaque sexe est plus à risque de certaines conditions selon ses particularités génétiques, mais également surtout selon l’environnement.
#onnepeutpasnégocieraveclanature
