Voir l’étude ici: https://www.sciencedirect.com/…/pii/S1877782121000102…
Et voir l’article dans Science Direct du 19 janvier 2021 ici : https://www.sciencedaily.com/rel…/2021/01/210119114255.htm
Aux États-Unis, c’est en moyenne 3.2 % des décès par cancer qui seraient reliés à la consommation (surconsommation) d’alcool. Ça semble varier entre 2.9 % à 6.7 % selon les États.
Au Canada, selon la société canadienne du cancer, c’est 83 000 personnes qui sont décédées du cancer en 2020 (https://www.cancer.ca/…/cancer-statistics-at-a-glance/…)
Si la moyenne au Canada est semblable, c’est environ 3 000 décès par année uniquement dus aux cancers reliés à l’alcool.
Il y a bien sûr une différence entre la consommation et l’abus. Des conditions chroniques comme les cancers sont toujours multifactoriels et l’étude a été faite à partir de sondage alors ce n’est pas l’idéal.
Globalement dans le monde (https://www.statista.com/…/alcohol-consumption-per…/), la consommation augmente. Est-ce possible que plus le temps avance, plus l’écart évolutionnaire augmente, plus le stress/détresse augmente et plus on se tourne vers l’alcool (ou autres…)?
Ceci n’est pas un article pour dire que l’alcool est automatiquement mauvais et que personne ne devrait en prendre bien entendu, mais de mettre en contexte la mortalité et surtout se questionner et observer nos comportements autour de l’alcool. Comprendre pourquoi on en consomme? Est-ce une relation saine ou abusive? Qui domine et dicte la relation que nous avons avec l’alcool? Est-ce que mon corps et ma conscience semblent être en accord avec ça?
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