Voir l’article de LaPresse: https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/201911/25/01-5251166-une-etude-associe-parkinson-et-antibiotiques.php C’est une étude d’observation de la Finlande. Elle comprend tout de même 14 000 sujets avec diagnostic de Parkinson’s qui ont été comparés à 41 000 sujets sans le diagnostic. Tout ce qui est neurologique et inflammatoire semble avoir un lien avec le microbiote! Le résultat de l’étude finlandaise va dans le même sens que plusieurs autres. Comme d’autres conditions chroniques, c’est toujours multifactoriel. Certains vont se rappeler également un lien entre les Parkinson’s et la toxicité (métaux lourds, pesticides et autres). C’est le cas du glyphosate entre autres avec plusieurs cas ici même au

Voici certaines des conditions associées avec un déséquilibre de la flore intestinale et une hyperperméabilité de la barrière intestinale. Le lien est une étude de 1998. La réalité est que c’est beaucoup plus que ça aujourd’hui. On pourrait ajouter le reste des conditions auto-immunes, tout ce qui est considéré chronique, inflammatoire ou neurologique. « It all starts in the gut » Diapo de David Brady #onnepeutpasnégocieraveclanature #naturopathie #santé #médecinefonctionnelle #médecineintégrative #alimentation #alimentationsaine #habitudesdevie #vivrenaturellement #bio #nutrition #pertedepoids #nutritionsportive #bienêtre #bienmanger

Voici certaines bactéries de nos intestins qui ont été associés à certaines conditions auto-immunes lorsqu’elles sont présentes en trop grande quantité. C’est simplement des corrélations d’observations. Ça ne veut pas dire que ça va s’exprimer nécessairement. D’autres facteurs doivent être présents, comme la susceptibilité génétique, le stress, de l’hyperperméabilité intestinale ou autres. Le tableau est également incomplet, mais démontre bien le lien entre notre microbiote et l’équilibre de notre système immunitaire. Certaines de ces bactéries ont été classées comme « auto-immunes triggers » Diapo de David Brady #onnepeutpasnégocieraveclanature #naturopathie #santé #médecinefonctionnelle #médecineintégrative #alimentation #alimentationsaine #habitudesdevie #vivrenaturellement #bio #nutrition #pertedepoids #nutritionsportive #bienêtre #bienmanger

Le porphyromonas gingivalis produit du PAD4 (une enzyme) qui peut modifier nos protéines les rendant non reconnaissable par notre système immunitaire. Pouvant donc créez de l’auto-immunité. De l’arthrite rhumatoïde dans ce cas-ci Donc, un déséquilibre de la flore buccale où il y aurait une trop grande quantité d’une certaine bactérie qui cause la gingivite pourrait être un des facteurs pour certaines personnes avec un diagnostic d’arthrite rhumatoïde. Diapo de David Brady #onnepeutpasnégocieraveclanature #naturopathie #santé #médecinefonctionnelle #médecineintégrative #alimentation #alimentationsaine #habitudesdevie #vivrenaturellement #bio #nutrition #pertedepoids #nutritionsportive #bienêtre #bienmanger

CASI (Clinical Applications of Scientific Innovation) a eu lieu à la fin septembre 2019 à Nashville. Dans les prochains jours, je vais faire un retour sur CASI pour vous partager un peu d’informations intéressantes. C’est pour votre information seulement. Toujours consulter votre médecin avant de faire tout changement bien entendu. Bien que beaucoup d’informations étaient cliniques et moins pertinentes de partager ici, il y a certains concepts qui sont intéressants. Dans le graphique, on voit l’augmentation des diagnostics de condition auto-immune ou ce qu’il appelle des « immune regulatory disorders ». On peut voir dans le graphique que l’augmentation est

La photo est un post Twitter du Doc Hyman exposant le fait que moléculairement le gluten (gliadine) est similaire à notre glande thyroïde. Ça m’a inspiré ce qui suit… L’hypothyroïdie étant une condition auto-immune, le système immunitaire pourrait « se tromper » entre le gluten et notre glande et se mettre à l’attaquer si nous avons certains gènes qui peuvent nous y prédisposer, un stress déclencheur, etc. C’est une simplification bien sûr pour le but de l’article. Le même phénomène peut se passer avec certaines de nos bactéries intestinales. Soit par rapport à une toxine qu’ils produisent ou une certaine

Il fait partie de notre flore bénéfique dite « normale ». C’est une des bactéries les plus abondantes dans nos côlons. Elle représente entre 2 à 15 % de notre flore et joue un rôle important. C’est une des bactéries principales qui produit du butyrate. Le butyrate est un acide gras à chaine courte qui est produit suite au métabolisme de certaines fibres et phytonutriments. Le butyrate sert d’énergie pour les cellules de l’intestin, aide au maintien de l’intégrité de la barrière intestinale, diminue l’inflammation (inhibe NF-KappaB) et stimule les cellules régulatrices T Il y a une association entre des

Il est beau n’est-ce pas? Haha 😉 Ils habitent dans la couche de mucus du côlon. Ils font partie de notre flore intestinale dite « normale ». Ils peuvent métaboliser le mucus et certains polysaccharides pour produire de l’acétate et certains sucres pour les autres bactéries. Ils sont importants pour que notre barrière intestinale soit robuste et que notre réponse immunitaire soit juste. Ils vont parfois travailler en collaboration avec d’autres bactéries. Lorsque nous n’avons pas suffisamment d’Akkermansia Muciniphila, on observe des chances accrues d’obésité, de syndrome métabolique et de diabète de type 2. Des niveaux trop élevés ont été observés

Étude du 13 août 2019 dans Nature: https://www.nature.com/articles/s41467-019-11370-y C’est notre système immunitaire qui à la tâche de garder notre microbiote équilibré. On parle ici d’un type d’immunoglobuline que l’on nomme les IgA. Si nos IgA sont bas, il y a plus de chance d’avoir certaines infections bactériennes ou parasitaires qui vont venir perturber l’équilibre du microbiote. Lorsque c’est le cas, les chances d’hyperperméabilité intestinale augmentent. C’est ce qui produit une élévation des taux de LPS dans le sang qui créer de l’inflammation systémique. Si cette inflammation est chronique, il y a toute sorte de processus métaboliques qui fonctionneront moins efficacement

Étude intéressante faite ici à l’Université de Montréal! Voici le lien d’un article de l’UDM qui en parle: https://nouvelles.umontreal.ca/…/la-maladie-de…/ C’est une étude sur les souris, mais quand même. Une infection intestinale pourrait être en cause lors de certains cas de Parkinson’s. On se rend de plus en plus compte qu’il y a beaucoup moins de maladies génétiques que l’on pense. L’étude présente est un autre bon exemple puisque la souris n’avait pas besoin d’avoir le gène qui prédispose au Parkinson pour le développer. L’infection intestinale à elle seule pouvait être le déclencheur. On entend souvent les experts dires que tout